Un été qui se termine, un entre deux dans notre activité, moment de repos et de récupération, nous l’espérons pour beaucoup d’entre vous, mais les épreuves de chacun n’ont pas non plus de saison, elles font partie de la vie et ne prennent pas de vacances ou sont parfois à contre rythme.
« La trêve des vacances » est pleine d’embûches, de non dits, de fake news, d’intrigues, et le flot des tweets. Twitt à l’origine voudrait dire gazouillis d’après le petit Robert en 2012. Dans l’édition le mot tweet est cité et fait référence à une marque déposée par la société Twitter Inc.
Le twitt a deux orthographes, twitt ou tweet, de même le verbe par contre le twitteur ou la twitteuse n’en a qu’une !! Donc un i et deux t.
Le twitteur serait assimilé à un sujet qui gazouille, qui fait du gaz, du buz, comme des onomatopées. Est ce un langage? On peut se le demander? Est ce « corticé » ? Allez savoir!
Celà permet de mettre de l’ambiance, on y « parle » comme on pense au fur et à mesure que l’on pense.
La réflexion par définition c’est le fait de prendre du recul, se mettre en retrait pour réfléchir un peu. Donc nous ne sommes pas dans la rationalité.
Comme dans les arbres quand vous étendez des moineaux, des merles, des mouettes, des corbeaux et des canards, avec ces derniers c’est plus gai, ils se marrent tout le temps en se racontant des blagues que l’on ne comprend pas.
Parce que le tweet c’est en fait un comportement, et même une addiction, et en plus beaucoup d’utilisateurs avancent masqués. Va t’on s’en lasser ou évoluerons nous avec cet outil avec plus d’intelligence?
Il faudrait d’abord essayer de comprendre comment le faire intelligemment et cela apparemment n’est pas donné à tout le monde, cela se travaille.
Bon courage donc aux utilisateurs, vous pouvez le faire…