Extrait de l’article paru dans le Journal international de médecine – JIM- le 8 avril 2019
.………. »La bioéquivalence moyenne entre les deux formes galéniques est un fait établi, mais la variabilité interindividuelle notable des interactions entre le principe actif, ses excipients et l’organisme est un autre fait qui suscite bien des questions sur la pertinence de l’approche actuelle…….. Au-delà de l’affaire du Levothyrox, c’est de fait le procès des études de bioéquivalence qui pourrait se dessiner à tort ou à raison : la question se pose ».
Encore un petit effort, et nous finirons par nous comprendre!
Regardez donc ce que nous essayons de vous expliquer à propos de l’homéopathie et même au delà, un patient n’est pas un autre, et au delà des standardisations thérapeutiques indispensables, il nous faut savoir adapter les doses suivant les terrains prédisposants de nos patients et leur sensibilité.
Un fait semble encore vous échapper, éminents pharmacologues, c’est que les lois de la chimie ne sont peut être pas suffisantes non plus pout tout expliquer à ce niveau quantitatif du microgramme. L’action pharmacologique fait intervenir des »mécanismes » bien subtils et je n’aurai pas la prétention à le savoir mieux que vous, mais des décideurs n’ont pas cette subtilité sans doute ou cette éthique.
Il n’est pas anodin de changer une formule qui marche , même au niveau des excipients, et il aurait fallu respecter ici le patient dans son individualité.