Un nouveau vaccin, dit classique, NOVAVAX , va être bientôt à disposition.
Il semblerait que les concepteurs des vaccins veuillent reprendre les vieilles recettes, ne serait ce que pour rassurer certains opposants vaccinaux, à propos des vaccins à ARN messager.
Les nouveautés effraient, et pourtant, nous savons bien, que ces molécules à ARN messager, ne peuvent accéder à notre génome, elles ne font que donner une fragile information sur la membrane cellulaire, une image en miroir vis à vis du système immunitaire.
le seul inconvénient effectivement étant, la proximité d’un récepteur cellulaire de type vasculaire qui peut expliquer des effets secondaires à ce niveau, relativement rares.
Vous le savez, nos vaccins, jusqu’ici ont besoin d’adjuvants, qui ont un effet facilitateur pour la réponse immunitaire. Ce qui n’est pas le cas de celui à ARN messager, Pfizer.
Si nous nous informons sur ce nouveau NOVAVAX, vaccin dit classique avec adjuvant,il semble donc que nos concepteurs aient recherché une autre solution que les métaux lourds, le plus fréquent étant l’Aluminium, vous le savez.
Ce nouveau vaccin d’ailleurs aurait été conçu en partie pour les réfractaires à la vaccination par l’ARN messager, pour les inciter à se vacciner dans ce problème de pandémie, et pallier à leur inquiétude d’être les cobayes d’une nouvelle approche.
Par contre pour d’autres raisons, une inquiétude demeure, c’est celui de ces adjuvants indispensables pour renforcer la réaction immunitaire. Et c’est bien sur celà que dans notre milieu homéopathique nous avons souvent insisté. Ces métaux lourds ne sont pas fait pour être injectés par effraction dans notre milieu extra-cellulaire et circulatoire, et son accumulation dans nos tissus, en particulier cérébraux n’est pas anodine.
L’adjuvant utilisé ici est un composé naturel dit Matrix-M , dérivé de saponines extraites du bois de Panama (Quillaja saponaria molina). Cet adjuvant a été testé dans d’autres projets de vaccins Novavax, chez plus de 4 300 personnes âgées de 5 mois à 85 ans, y compris chez des femmes enceintes.
Tout celà pour dire, que derrière cet intangible mot, vaccin, support de peurs anciennes, plus ou moins fondées, se cache aussi une recherche scientifique qui doit nous redonner confiance en cette approche, d’autant plus devant ce problème de santé publique que nous vivons.
Nous dévoilons ainsi l’approche informationnelle du médicament, qui n’agit pas seulement par un effet dose mais informationnel, au niveau de récepteurs tissulaires. Nous nous rapprochons ainsi de notre effet thérapeutique homéopathique ou l’effet dose devient relatif. A suivre donc…..